Le tableau, depuis la renaissance jusqu’au début du XXème siècle, est perçu comme une fenêtre ouverte sur le monde.
Le rapport du bâti m’amène à travailler avec la fenêtre, autour et dedans.
En relation avec beaucoup de travaux précédents qui utilisent le développement, l’ouverture, j’ouvre les fenêtres. Mais je les ouvre en désarticulant ses constituants.
Autre façon de sortir de l’orthogonalité du tableau, mais aussi de l’image conventionnelle de la fenêtre.
Un autre moyen consiste à n’utiliser que des fragments de fenêtre.
(Miguel

